Voici mon histoire : Chapin Bell, directeur commercial de Climate
avril 23, 2020
Chapin Bell, ou Chaps comme l'appellent ses amis et collègues, n'a jamais cru qu'il ferait carrière en agriculture. Après tout, il n'a pas grandi sur une ferme. Il ne savait pas conduire une moissonneuse-batteuse. Et il n'avait jamais trait une vache. Mais c'est une rencontre fortuite qui l'a conduit dans l'industrie qu'il aime aujourd'hui. « Je connaissais un ami de la famille qui travaillait en agriculture depuis plus de 30 ans…Il m'a demandé si j'envisageais un jour de me lancer en agriculture. Et je lui ai répondu : " Vous savez, j'ai toujours été intrigué, mais je ne suis pas agriculteur. " » Alors, il m'a trouvé un emploi chez un concessionnaire local juste à l'extérieur de Winnipeg. C'était censé être un emploi en attendant d'entrer à l'université, mais après une courte saison, je suis allé voir mon patron et lui ai dit : « J'aime ce travail, j'aime l'industrie, j'aime les gens qui y travaillent. Envisageriez-vous d'engager à plein temps quelqu'un qui n'est pas issu du milieu agricole? » Son patron a répondu par un « oui » retentissant, et maintenant, avec le recul, il considère que c'est l'une des meilleures décisions de sa vie.
Chapin a rejoint l'équipe de FieldViewMC à Winnipeg en novembre 2019 en tant que directeur commercial de Climate, faisant de lui le p'tit dernier. Et si le titre n'est pas si précis, le travail l'est certainement. « Je travaille avec les directeurs régionaux et directeurs de comptes, les détaillants et les agronomes pour aider à servir nos producteurs qui utilisent actuellement FieldView et pour montrer l'intérêt de passer au numérique aux producteurs qui n'utilisent pas FieldView ou une autre plateforme. Je gère également notre équipe d'activation Climate (CAT). Ce sont les membres de notre équipe qui visitent les producteurs agricoles, les aident à configurer leur équipement et veillent à ce qu'ils soient à l'aise avec la plateforme. »
Avant cela, Chapin a travaillé six ans chez un concessionnaire local au Manitoba, où il est passé du « travail de routine », comme il s'en souvient avec tendresse, à un rôle de gestionnaire. Ironiquement, il a rencontré sa petite amie Jill, qui travaille comme infirmière, en même temps qu'il est arrivé en agriculture. « Je plaisante toujours sur le fait que deux bonnes choses se sont produites la même année. » Ensemble, ils partagent un amour pour le lac, les Jets de Winnipeg et les voyages. C'est une passion qui les a conduits en Europe et, plus récemment, en Amérique centrale.
Bien que Chapin ne travaille pas depuis longtemps pour Climate Corporation, il a vu dès le début le potentiel de la plateforme pour améliorer la vie des producteurs agricoles. « Avec FieldView, nous essayons d'améliorer la durabilité et la rentabilité de la production. À l'échelle mondiale, la superficie cultivée est stable, donc je pense que nous devons nous assurer de rentabiliser au maximum cette superficie et d'en tirer chaque grain possible. »
« À ma première semaine de travail, j'ai été envoyé au bureau de San Francisco. Ils ont une équipe qui voyage à travers les États-Unis et le Canada pour demander aux agriculteurs ce qu'ils recherchent dans une plateforme. C'est bien qu'ils demandent directement aux agriculteurs ce qu'ils veulent avoir », explique Chapin.
Dans son travail quotidien, Chapin se considère comme davantage que le « gars de l'agriculture numérique ». En fait, il agit comme accompagnateur des directeurs des ventes, des détaillants et des agronomes avec lesquels il travaille quotidiennement. « Je les aide à s'impliquer avec FieldView, à mieux connaître la plateforme et à trouver la meilleure façon d'utiliser FieldView avec chacun de leurs producteurs. »
« Ce n'est pas comme si j'étais le gars invisible que personne ne voit jamais. J'aime prendre la route autant que possible et m'assurer que les producteurs savent qui je suis et puissent mettent un visage sur ce nom bizarre », dit Chapin en plaisantant.
Avec les nouvelles innovations qui s'ajoutent à la plateforme, presque tous les jours, Chapin ne peut s'empêcher d'être enthousiaste à l'égard de ce qui s'en vient. « Je pense que nous arriverons au point où les données collectées par la plateforme vont reconnaître chaque situation et commencer à donner aux producteurs des suggestions pour rendre leur exploitation plus durable. Je répète souvent « durable », mais c'est bien là l'objectif final, non?
Chapin poursuit : « Je dis toujours aux gens que cela ne remplacera jamais un agronome, parce qu'il faut avoir les deux pieds sur le terrain, mais cela peut aider l'agronome et le producteur à travailler ensemble. Je pense que c'est l'idéal. »
Et bien que Chapin aime son travail jusqu'à présent, intéresser les producteurs à FieldView comporte aussi ses difficultés. « Le principal défi est la confidentialité des données. Je le dis clairement dès le départ : les producteurs en sont propriétaires à 100 %. Nous cherchons à vous offrir une solution sur mesure qui va améliorer votre exploitation », note M. Chapin.
Alors que l'équipe FieldView continue à chercher des moyens d'améliorer la vie des producteurs dans tout le pays, Chapin ne peut s'empêcher de se réjouir de faire partie de la famille FieldView pour encore longtemps. Mais en fin de compte, la raison pour laquelle il croit si fermement à l'avenir de FieldView est bien simple. « L'agriculture numérique est la voie de l'avenir pour l'industrie et FieldView mène la charge. Faire partie de l'équipe de FieldView m'a donné l'occasion extraordinaire de rencontrer des producteurs d'un bout à l'autre des Prairies, d'en apprendre davantage sur leurs exploitations et d'aider à initier certains d'entre eux à ce monde numérique. »
« Ce qui me plaît de l'agriculture, c'est l'agriculture! Nous aurons toujours besoin de nourrir le monde et je suis heureux de jouer un petit rôle pour aider dans le cadre de FieldView. »
Nous sommes bien d'accord avec toi Chaps. Bien d'accord.